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2 avril 2012 1 02 /04 /avril /2012 14:12

Chers parents,

 

Le compte-rendu de la dernière réunion du Conseil des parents est arrivé. Le voici,

La prochaine réunion est prévue la semaine prochaine.

 

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ASSEMBLEE GENERALE 

CONSEIL DES PARENTS BUTTE D’OR

Mardi 7 février 2012 à 18h

 

ORDRE DU JOUR :

 

-          Point d’organisation de la prochaine brocante carnaval

·         Date et lieu à prévoir ?

La date reste à définir. Un dimanche du mois de juin pourrait être envisagé.

Il a été suggéré de l’organiser dans un square (exemple square Clignancourt) mais cela pose un problème juridique, le règlement des squares interdit en effet les actions à caractère marchand.

Néanmoins, la possibilité pour l’organiser sur l’esplanade du Jardin d’Éole est actuellement étudiée par Monsieur Pascal Julien chargé des Espaces Vert à la mairie du 18e.

En cas d’impossibilité, il pourrait être envisagé de l’organiser place Charles Bernard, comme l’an dernier. Elle est intéressante car fermée à la circulation le dimanche.

Quant au quartier des Abbesses, étant déjà beaucoup sollicité pour de nombreuses brocantes, ce n’est pas envisageable. Une réflexion est menée par les élus et le conseil de quartier Montmartre, à la demande des riverains, pour réduire le nombre de manifestations place  des Abbesses.

 

-          Bobos des crèches

·         Est-il possible, quand l’espace le permet, d’aménager une aire de dépose minute devant un équipement public ?

La ville n’a pas pour projet d’en réaliser. M De Vathaire, Directeur Général des services de la Mairie du 18e répond que la direction de la voierie ne réalise pas ce type d’équipement pour les crèche, ni pour d’autres équipements d’ailleurs. Les équipements concernés par les déposes-minutes sont généralement les gares, aéroports….

 

·         Est-il possible, quand le terrain le permet, d’aménager un jardin pédagogique au sein de d’une crèche ? La question, ici, concerne la crèche Becquerel où deux professionnels ont été formés au jardinage par la Direction des espaces verts et de l’environnement (DEVE) ?

Certaine crèche bénéficie d’un jardin dont celui de la crèche becquerel. Sa directrice Mme Bozec informe que du personnel a pu bénéficier de formation mais que le terrain n’est pas fertile. Depuis 2007, le gazon ne pousse pas. Le problème a été signalé «  en attendant de voir venir, on fait avec les moyens du bord (plantes dans des pots de yaourt …). »

 

·         Quand un digicode est cassé, pourquoi n’est il pas prévu de le réparer en urgence ?

V.TRAJAN intervient

Fort de ce constat un nouveau système de remontées d’informations a été mis en place.

Il s’agit d’une fiche de liaison que doivent remplir les responsables d’établissement qui est ensuite transmise à la DFPE (Direction des Familles et de la Petite Enfance).

Celle-ci priorise en fonction de la demande (il existe 4 niveaux d’urgence et environ 200 établissements de proximité à gérer) et transmet à la SLA (section locale d’architecture). Les travaux et réparations suivent.

L’intervention sur le digicode de la goutte d’or a concentré les déconvenues. Un problème d’appel d’offre, la société a fait faillite et les conditions météorologiques actuelles (froid ne permettant pas la pose de plâtre) n’ont pas permis de finaliser la pose.

Un parent de la crèche de la Goutte d’or attire l’attention sur les problèmes d’intrusion de toxicomanes. « Ce n’est pas aux parents d’assurer la protection. Pourquoi dans pareil cas la mairie ne prévoit pas la présence d’un vigil ? »

Mme TRAJAN indique qu’il va être envisagé d’envoyer quelqu’un au moins jusqu’à la réparation du digicode.

La directrice de la crèche Polonceau, madame Sztulcman informe qu’il existe un partenariat avec l’association « coordination toxicomanie » (qui a d’ailleurs été invitée au café des parents). Un médiateur intervient à la demande de la crèche et très souvent les personnes qui sont invitées à libérer les lieux, le font sans problème.

Le partenariat qui est fait aussi avec le commissariat de la Goutte d’Or donne entière satisfaction.

 

·         Quelles sont les réponses à la ville pour intervenir quand des problèmes d’insécurité sont constatés aux alentours d’un établissement ?

C.BOURGUET (chargée de mission à la tranquillité publique au cabinet du maire du 18e) informe que la sécurité des crèches en tant qu’établissement public est assurée par le service de la Prévention et de la Protection (la DPP).

A Paris, les pouvoirs de Police Administrative ne sont pas conférés au Maire mais au Préfet de Police (donc le commissariat de police). Mais, la mairie est en lien avec le commissariat pour signaler des problèmes, notamment via une instance qu’elle a mise en place appelée « cellule de veille » qui est présidée par le maire.

Depuis le 1er  février, le commissariat du XVIIIème expérimente la prise de plainte sur rendez vous (existait déjà pour les agents de la ville) sur des créneaux d’une demi-heure afin de limiter l’attente qui pouvait être dissuasive.

 

Quelles sont les modalités d’attribution d’un marché public (notamment celui des couches) ?

·         Suite au renouvellement du marché des couches en 2010, des interrogations sur leur qualité ont été posées. Un questionnaire a alors été adressé aux responsables des crèches. Quelles sont les conclusions de questionnaire ?

Monsieur De Vathaire rappelle que les marchés publics sont soumis à une règlementation spécifique à laquelle il n’est pas possible de déroger. La procédure passe obligatoirement par un appel d’offre, un cahier des charges est défini avec des professionnels. Les quantités, des critères techniques et de qualités (tests effectués) y sont déterminées.

La direction des achats de la ville a en charge d’analyser les offres, le marché est attribué à la société dans le cadre d’une commission.

Le marché couches a été renouvelé en 2010 pour 3 ans

Un questionnaire a été adressé au responsable des crèches pour connaître leurs avis sur ces couches. Les conclusions du questionnaire n’ont pas permis de dire que les couches étaient de mauvaise qualité.

Pour qu’un marché public puisse être résilié avant terme (2013), il faut un argument fort, par exemple, le non respect du cahier des charges.

Monsieur De Vathaire rappelle toutefois qu’il a été demandé à l’entreprise d’améliorer le produit suite au questionnaire. Si elle ne donne pas suite aux recommandations de la DFPE (direction des familles et de la petite enfance) il pourrait alors être envisagé la remise en cause du marché.

Le changement de contrat en cours d’exécution fausserait la concurrence.

Il est donc impossible d’exiger une marque en particulier.

Un parent demande qu’une réflexion soit menée en termes de rentabilité ; « plus de couches

sont utilisées car moins absorbantes. On peut se questionner sur la rentabilité et cela n’est

pas écologique non plus » 

Le marché public est une obligation légale qui a ses inconvénients. Les grandes marques (tel que Pampers) sont plus intéressées par les marchés de la grande distribution.

 

·         Est-ce que les parents peuvent amener leurs couches à la crèche ?

 

Madame TRAJAN rappelle que cette question avait déjà été soulevée. Les parents ne peuvent pas rapporter leurs propres couches (sauf très forte intolérance démontrée).

 

-          Regroupement des enfants lors des vacances de noël et d’été

·         Comment est organisé le regroupement ?

Mme TILQUIN, coordinatrice de directrices de crèche (secteur sud ouest de l’arrondissement) rappelle qu’il existe toujours un écart important entre les inscrits au regroupement et les présents. C’est pourquoi, pour le réduire, un mode de réservation actif avec une inscription en mairie a été mis en place en 2009. Depuis, il a été constaté un taux de fréquentation meilleur mais qui peut être encore amélioré. A titre d’exemple, ce constat a été fait lors du regroupement des dernières vacances de Noel 2011 : après noël, en effet le taux de fréquentation a fortement baissé (87 % au début du regroupement puis 60 % au 26.12.2011). Mais, le XVIIIème, comparé aux autres arrondissements, a les meilleurs résultats sur cette question.

Quand la fréquentation prévue n’est pas au rdv, il y a une incidence immédiate sur le budget «  gaspillage » ce qui pourrait amener à réduire le nombre de places pour le regroupement.

 

Le regroupement permet au personnel de partir en congé (congés obligatoires car l’encadrement doit être au complet quand tous les enfants sont présents) et d’effectuer des travaux dans les crèches, tout en maintenant un accueil pour les familles qui doivent travailler lors de ces périodes.

Il commencera cette année le 23 juillet jusqu’au 31 aout. Mais, la période peut être allongée selon les besoins en travaux de l’établissement (ex : Carpeaux, travaux vont durer 8 semaines)

Les professionnels se mobilisent pour assurer le meilleur accueil aux enfants.

Tout est pensé lors de réunions de travail de professionnels : du nom de l’enfant collé sur le casier, aux activités éducatives en fonction des tranches d’âge, l’alimentation, les habitudes de vie….

 

·         Comment leur sectorisation est-elle décidée ?

Cinq crèches d’un même quartier sont regroupées, et une seule d’entre elle reste ouverte pendant toute période. Le trajet ne doit pas excéder 20 minutes.

L’arrondissement garantit plusieurs ouvertures de crèches sur la période (dans d’autres arrondissements, à noter qu’une seule crèche reste ouverte)

 

·         Le lieu de regroupement peut-il être communiqué lors de l’inscription ?

Le nom de la crèche ne peut-être donné en amont pour deux raisons :

- Les crèches sont fermées notamment pour permettre des travaux et leurs exécutions effectives dépendent des appels d’offre. Il peut y avoir des modifications.

- les familles qui s’inscrivent au regroupement le font en fonction d’un véritable besoin et non en fonction de la crèche

 

Les parents souhaitent une amélioration de la communication.

 

Le comité de parents propose :

- d’expérimenter la communication du nom de la crèche en amont pour vérifier si l’écart entre les inscrits et les présents s’améliore. Il propose que le nom de la crèche soit communiqué dès le prochain regroupement.

- une enquête adressée aux parents pour connaitre les raisons des annulations

Cette suggestion a été entendue.

 

·         Est-il possible de décaler les dates d’inscription, notamment pour le regroupement concernant les vacances de noël ?

Les inscriptions se sont faites au plus tard un mois avant. Il est difficile de prévoir des délais plus courts du fait d’une importante logistique en amont telles que l’organisation des départs en congé du personnel selon la présence supposée des enfants inscrits pour garantir l’encadrement obligatoire et la préparation de l’accueil des enfants dans la crèche désignée.

 

 

·         Comment pouvons-nous améliorer la présence des enfants lors du regroupement ?

 

Qui dit regroupement dit changement de lieu, de repères pour l’enfant et les équipes d’encadrement, de pratiques (repas, jeux…).

Garantir la stabilité des équipes pendant le regroupement et les repères des enfants sont les priorités.

Il est envisagé de mettre en place une demi-journée pédagogique spécifique au regroupement afin d’en améliorer le dispositif. Les objectifs étant notamment l’approfondissement de la connaissance des enfants entre les équipes de regroupement, l’anticipation des problèmes…

Il serait opportun de prévoir des temps d’adaptation pour les périodes de regroupement même si «  c’est souvent le parent qui en a le plus besoin »

Une piste de travail est proposée par quelques parents en vue de créer un réseau de solidarité du mode de garde durant ces périodes notamment, et de mieux communiquer sur leurs dates de vacances prévues pour permettre une meilleure organisation.

 

-          L’accueil des tout petits dans les centres de loisirs l’été et l’entrée à l’école

·         Quel accueil sera proposé aux enfants qui auront plus de 3 ans l’été prochain ?

Les enfants accueillis en centre de loisirs sont ceux qui ont 3 ans l’été.

Une dérogation toutefois pour les enfants nés entre janvier et fin juin qui continuent d’être accueillis en crèche, est accordée jusqu’à la date de regroupement.

Cette année l’accueil n’est prévu que jusqu’au 6 juillet car de nombreuses crèches sont en restructuration avec de gros travaux réduisant la capacité d’accueil. Mais l’organisation va être revue pour tenir compte notamment des besoins des familles. La date définitive sera communiquée suite à une réunion courant février concernant la programmation de gros travaux dans les crèches.

Une ouverture, l’année dernière d’un centre de loisirs pour les tout petits n’avait pas été satisfaisante, sans doute à cause du lieu (quartier Marx Dormoy) trop éloigné.

Pour l’été prochain, la mise en place d’un accueil « cocon » pour ces tout-petits au sein des centres de loisirs maternels, est à l’étude.

La présence de l’enfant au centre de loisirs suppose qu’il soit propre (dérogation possible au cas par cas).

 

·         Existe-t’il des actions passerelles crèche-école ?

Oui dans certaines crèches. La responsable de la crèche de la Goutte d’Or mentionne que tous les mercredis matins, un petit groupe ira au centre de loisirs, accompagné par un professionnel de la crèche pour s’y familiariser.

 

-          Accueil des 0-3 ans dans le 18e

·         Quel est le nombre de demandes de places en crèche dans le 18e en attente ?

En augmentation constante depuis 2001. Il y a 1700 demandes en attente, ce qui représente 1 demande satisfaite sur 2,5.

Le 18e compte plus de 2600 places en crèches, 1500 places en crèches municipales

1100 places en crèches associatives

Le XVIIIe arrondissement connaît une croissance dynamique, il compte de très nombreuses naissances et voit son nombre d’habitants croître. Fort de ce constat, il est donc prévu la création de 700 places supplémentaires d’ici 2014.

 

·         Quels sont les projets de l’équipe municipale pour créer de nouvelles places pour les 0-3 ans ? Est ce que le local de la rue Léon, actuellement vacant, peut accueillir un projet de crèche ?

700 places supplémentaires seront créées d’ici 2014. D’ici la fin 2014, près de 400 places de crèches municipales auront été créées : crèches Pierre Picard, 43 rue Aubervilliers, Henri Huchard, Pierre Budin, Emile Duployé et Pajol Dupuis et rue des Poissonniers.

Et près de 120 places en associtifs : rue Vauvenargue, square Ornano, Bd Ney, Porte Montmartre.

D’autres projets associatifs identifiés sortiront, mais après 2014. Il s’agit de projets, bd Ornano, cité de la Chapelle, rue Ordener et rue Baudelique. Ca représente environ 130 places.

Le local situé rue Léon va accueillir un projet de musique du monde.  C’est un projet privé qui a été présenté à la mairie. L’intérêt de ce futur projet est qu’il sera à proximité du 104, d’EMI, de Fleury Goutte d’Or – Barbara.

Il faut savoir que les critères de la DFPE sont très exigeants. Il faut un espace de 200 à 800 m2, aéré, lumineux, avec un espace extérieur, etc…

 

·         Quels sont les autres modes de garde ?

Les assistantes maternelles sont 400 et ont une capacité d’accueil de 700 enfants.

Un forum a été organisé par la mairie pour faciliter les échanges entre les assistantes maternelles et les parents, et pour communiquer sur la profession afin de faire tomber la mauvaise réputation attribuée à ce mode de garde.

Des informations sont données à la maison de l’enfance et sur ce mode mode de garde et sur le site paris-servicesfamilles.com, plateforme de mode de garde à domicile, qui répertorie également les auxiliaires parentales.

 

 

-          Accueil et Handicap :

·         Existe-il des structures d’accueil spécifiques pour les enfants porteurs de handicaps et leurs parents dans le 18e ?

Oui comme par exemple Ramdam , une crèche associative de 20/25 berceaux.

Une enquête est en cours pour recenser les enfants accueillis en crèches associatives/ collectives/ haltes garderies…

·         Comment les enfants porteurs de handicaps sont-ils accueillis dans les crèches collectives ?

Toutes les crèches sont susceptibles d’accueillir les enfants atteints de handicap.

Chaque équipe mène une réflexion en fonction du handicap et de l’enfant puis établit un projet d’accueil.

Madame CHAIGNE directrice de la crèche 126 rue Marcadet témoigne que dans son équipe du personnel a pu bénéficier de la formation de la langue des signes et que des enfants malentendants peuvent être accueillis.

Si le handicap est connu avant, un protocole d’accueil spécifique individuel est mis en place dans lequel sont associés les parents, le médecin traitant, le médecin, le psychologue, le coordinateur de crèche.

Un partenariat s’établit avec le centre spécialisé qui suit l’enfant et des aménagements peuvent être prévus.

Il n’existe pas de protocole type. Une réflexion spécifique à l’enfant est menée avec l’équipe d’encadrement pour adapter les outils pédagogiques ; Ce qui aboutit à une réflexion pédagogique pour tous les enfants. Par exemple le développement des activités visuelles et les ateliers de comptines à gestes pour tous les enfants.

La directrice de la crèche Polonceau Mme Sztulcman témoigne dans le même sens. Un partenariat avec le CMP a été mis en place pour aider la réflexion et accompagner les parents par la suite. La crèche travaille aussi avec l’école. La venue d’une institutrice (période d’observation) a permis de mettre en place un petit créneau horaire quotidien durant lequel l’enfant va à l’école (de 15h30 à16h30). En septembre il intègre une classe.

 

-          Mixité dans les crèches (enfants et professionnels) et la question du genre

·         Quel est le rapport homme femme chez les professionnels de la petite enfance ?

C’est un métier exercé en majorité par les femmes et qui le demeure.

L’aspect financier (fonction peu rémunératrice en termes de carrière) et la représentation sociale de la fonction sont les deux principales causes du manque de candidatures d’hommes puériculteur, auxiliaire. Mais on en retrouve un peu plus chez les éducateurs.

·         La question du genre est-elle abordée lors de réunion pédagogique entre professionnels ?

Cette question a récemment été évoquée lors d’un séminaire regroupant 450 structures parisiennes, quant au type d’activités proposées pour permettre aux enfants de dépasser les assignations de genre, selon des réflexions notamment élaborées par l’Institut Suédois ou la crèche (de Bourdarias ?) à Saint Ouen.

·         La mixité au sein des sections et crèches est elle prise en compte lors des admissions ?

La parité est respectée. Les professionnels de la petite enfance sont attentifs au respect de cette parité et au maintien de cet équilibre (285 filles pour 310 garçons).

·         Les métiers de la petite enfance sont-ils valorisés auprès des jeunes ?

Conscients de cette désertion par la gente masculine les professionnels tentent de valoriser au mieux les métiers de la petite enfance et notamment auprès des jeunes comme par exemple le forum des « métiers insolites » (ceux auxquels on ne pense pas).

Les crèches accueillent aussi des stagiaires qui en phase d’observation sur une période déterminée peuvent se faire une juste idée du métier. Cette ouverture peut être à l’origine de la création de vocation…ou le contraire !!!

Une sélection d’albums, de romans et de documentaires, ont été répertoriés dans un document « littérature de jeunesse non sexiste ». On y trouve une liste de livres où le sexisme n’a pas sa place.

 

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